Déroulement chronologique

Sommaire

1. Arrivée au Biodôme
2. Forêt tropicale humide des Amériques
3. Érablière des Laurentides
4. Golfe du Saint-Laurent
5. Régions subpolaires
6. Autres expositions et boutiques

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• Arrivée au Biodôme : 20 et 23 juillet 2012 (sommaire)
  

Plan des environs (voir toute la carte)

Le Biodôme et la tour de Montréal (agrandir l'image)

L'entrée du Biodôme (agrandir l'image)

Une jolie décoration accueille les clients (agrandir l'image)

L'entrée de l'exposition, où il faut montrer le billet acheté (agrandir l'image)

• Forêt tropicale humide des Amériques (sommaire)
  

Le premier écosystème dans lequel nous entrons est celui de la forêt tropicale. Une pièce servant de sas nous indique la nature de ce milieu avant notre entrée.

Une pièce servant de transition entre l'entrée du Biodôme et la forêt (agrandir l'image)

A l'intérieur de la salle règnent une chaleur et une humidité tout à fait en accord avec le climat de la forêt tropicale. Cette particularité nous met rapidement dans l'ambiance du lieu, d'autant plus qu'il n'y a qu'une petite barrière en bordure de chemin qui sépare les visiteurs des animaux. La végétation est incroyablement riche et exotique, les chants des oiseaux se font entendre entre les branchages.

Le chemin vu depuis l'entrée (agrandir l'image)

Le tronc épineux d'un des palmiers (agrandir l'image)

Nous commençons à suivre le chemin et sommes immédiatement captivés par le nombre d'animaux à voir. A quelques mètres de nous, un couple de capybaras se meut dans un ruisseau à proximité d'un groupe de canards.

Les capybara sont des rongeurs de la taille d'un gros chien (agrandir l'image)

La végétation est très dense et variée aux alentours du ruisseau.

Les plantes poussent en bordure de l'eau (agrandir l'image)

Un peu plus loin, je repère deux singes tamarin-lions dorés à côté d'un plateau de nourriture mis à leur disposition. Ils sont difficiles à prendre en photo, d'autant plus qu'il y avait beaucoup d'autres personnes en train de les observer à partir du chemin.

Une liane et un plateau aménagés pour les tamarins-lions (agrandir l'image)

Le tamarin-lion est interpelé par le déclic de mon appareil photo (agrandir l'image)

En train de se balader sur une liane (agrandir l'image)

En continuant à marcher le long du chemin, j'aperçois un homme en train de photographier un énorme oiseau absolument pas farouche qui se tenait à quelques centimètres des visiteurs. L'animal en question s'avère être un hocco à pierre femelle.

L'animal ne montre aucun signe d'inquiétude, il est même plutôt curieux à l'approche de ce visiteur (agrandir l'image)

Il observe mon appareil avec intensité (agrandir l'image)

A côté du hocco, un joli décor en forme de grotte est dessiné dans la paroi.

L'environnement est soigneusement travaillé (agrandir l'image)

Un peu plus loin en arrière plan, un toucan (Araçari) est en train de s'activer à l'entrée de ce que j'imagine être son nid.

L'oiseau rentre dans le tronc creux (agrandir l'image)

Nous rentrons ensuite dans une cavité longée par des aquariums où se trouvent une foule de poissons tropicaux, des terrariums à batraciens ainsi qu'une grande cage à chauve-souris. A notre entrée dans la grotte, un oiseau aux longues pattes me dépasse en courant et se précipite de l'autre côté en zigzagant entre les visiteurs. Je ris en croyant à tord que l'animal s'est perdu, mais je le reverrai plus tard lors de ma seconde visite...

Le souterrain qui relie les deux parties de la forêt (agrandir l'image)

Un des aquarium, avec des piranhas (agrandir l'image)

La tête d'un énorme poisson pas très commode

Une grenouille exotique : Dendrobate doré (agrandir l'image)

Une seconde Dendrobate sur un rocher (agrandir l'image)

A la sortie de la grotte, un grand point d'eau où nagent quelques caïmans s'offre à notre vue. Rappelons qu'il n'y a qu'une mince séparation entre les visiteurs et les animaux, mais l'aménagement du terrain est tel qu'il n'est bien sûr pas possible de s'en approcher (mis à part certains oiseaux qui s'approchent de nous).

Le reptile se laisse tranquillement flotter à la surface (agrandir l'image)

Les caïmans s'entassent au bord de l'eau (agrandir l'image)

L'un d'entre eux se repose sur la berge (agrandir l'image)

Étant donné qu'il y a à cette heure encore trop de monde pour pouvoir profiter pleinement de mes observations, je me dirige lentement vers la sortie de ce biome en pensant à faire davantage de photos et de vidéos lors de ma prochaine visite. Je prends quelques clichés de la végétation en marchant ainsi qu'un petit oiseau aperçu sur une branche en hauteur.

Un oiseau noir posé dans un arbre au dessus de moi (agrandir l'image)

Un mur végétal (agrandir l'image)

Jeu de lumière dans les branches d'un palmier (agrandir l'image)

Jolie feuille émergeant d'un mélange de plantes (agrandir l'image)

Le lundi suivant (j'ai volontairement évité le week-end), nous retournons au Biodôme afin de continuer les illustrations. De retour dans la forêt tropicale, je constate à mon plus grand dépit que le chemin est noir de monde, impossible de prendre des clichés et encore moins des vidéos dans ces conditions. C'est le gros point noir de cette attraction, étant donné que le cheminement est plutôt court les expositions sont vite bondées aux heures propices. Peut-être une visite hivernale serait-elle plus au calme ?

J'erre donc momentanément sans but donc dans les autres biomes et reviens faire des photos à partir de 16h30, lorsque la foule a passé sont chemin. L'endroit devient même complètement désert à partir de 17h20, ce qui rend le parcours vraiment très agréable. Les bruits de l'environnement et des oiseaux ne sont plus couverts par les cris d'enfants et donnent une autre dimension à la visite.

Une nuée de visiteurs se presse aux points d'observation... (agrandir l'image)

Durant cette seconde visite, je prends le temps d'apercevoir un plus grand nombre d'espèces. Je rencontre à plusieurs reprise l'oiseau qui m'avais filé entre les jambes la fois précédente ; il s'agit de l'agami trompette, un oiseau indigène très sociable et employé en Amazonie en tant que "chien de garde" pour les troupeaux. Il se comporte en effet comme nos poules domestiques, avec une curiosité et un caractère très attachants. La plupart du temps il circule sans aucune gêne entre les visiteurs, courant la tête baissée et s'approchant des lacets et autres excroissances à picorer.

L'agami se mêle aux visiteurs, pour le plus grand plaisir de ceux-ci (agrandir l'image)

Un panneau indiquant aux visiteurs de ne pas déranger l'osieau (agrandir l'image)

Il reste de temps en temps dans la végétation (agrandir l'image)

Outre l'agami, je croise de nombreux autres oiseaux ; des échassiers aux pattes démesurément grandes (Jacanas), des spatules rosées, des ibis rouges et blancs, un urubu à tête rouge et différents types d'aras. J'aperçois également un petit oiseau rouge très bruyant caché dans le feuillage d'un grand arbre (sans doute un tangara du brésil).

Ce jacana noir se marchait carrément dessus tellement les doigts de ses pattes étaient longs... (agrandir l'image)

Une spatule, nommée ainsi pour la forme caractéristique de son bec (agrandir l'image)

Un ibis rouge derrière un buisson (agrandir l'image)

Un ibis blanc vu de dessous (agrandir l'image)

Un jeune urubu à tête rouge, dont la couleur n'est pas encore bien établie (agrandir l'image)

Un couple de Aras militaires (agrandir l'image)

Deux Aras Macao en train de se débattre, perchés à l'envers sur une branche (agrandir l'image)

Les petits oiseaux sont difficiles à voir à distance au milieu du feuillage (agrandir l'image)

J'ai eu la chance de pouvoir photographier deux autres types de singes mis à part les Tamarin-lions : des Tamarins Pinchés et des Callimico de Goeldi. J'ai pu filmer et photographier ces deux espèces uniquement après 17h, lorsque la foule s'était dissipée.

Un Tamarin Pinché qui regarde dans ma direction (agrandir l'image)

Deux Callimicos côte à côte (agrandir l'image)

Un Callimico qui pousse un cris (agrandir l'image)

Il regarde attentivement en l'air (agrandir l'image)

L'éclairage artificiel commence à baisser aux alentours de 17h afin de simuler la tombée de la nuit. Je dois rapidement continuer la visite afin de ne pas manquer d'autres animaux dans les biomes suivants. J'ai encore le temps de prendre quelques clichés de la végétation dans laquelle j'aperçois un iguane qui passe le long d'un tronc et même le ventre poilu d'un paresseux...

L'iguane vert avance lentement le long de la branche (agrandir l'image)

La lumière diminue et change de ton (agrandir l'image)

Des fleurs et fruits exotiques pendent à côté du chemin (agrandir l'image)

Une verdure aux belles teintes (agrandir l'image)

Le paresseux n'est vu qu'occasionnellement par les visiteurs (agrandir l'image)

J'effectue un montage des différentes vidéos filmées dans ce biome. Les bruits de fond sont tels qu'entendus sur place.

Une compilation des vidéos de la forêt tropicale (© IS)

• Érablière des Laurentides (sommaire)
  

Le second écosystème dans lequel nous rentrons est celui d'une forêt mixte et tempéré. Après la chaleur étouffante de la forêt tropicale, ce climat neutre est agréablement accueilli.

La salle d'accueil du biome (agrandir l'image)

La végétation est moins dense que dans le biome précédent, mais elle est tout aussi riche et diversifiée. Je prend des photos générales du paysage et des végétaux lors de mes deux visites.

Un aperçu depuis l'entrée (agrandir l'image)

Le long du chemin principal, les barrières sont là pour éviter que les visiteurs ne marchent dans la végétation (agrandir l'image)

Un échantillon de verdure (agrandir l'image)

La flore est très variée (agrandir l'image)

Quelques champignons émergent à des endroits isolés (agrandir l'image)

Peu après l'entrée se trouve un aquarium avec quelques poissons, puis l'enclos des loutres de rivières, qui comporte une partie immergée et émergée (fermée avec des barrières à mi-hauteur). Lors de ma première visite, il y avait un couple de loutre en train de parader dans l'eau. Il n'y avait plus qu'un seul individu lors de mon second passage quelques jours plus tard.

Le couple de loutres dans l'eau (agrandir l'image)

Une loutre en train de fixer devant elle (agrandir l'image)

Le même animal couché (agrandir l'image)

En train de nager dans le point d'eau (agrandir l'image)

En face de l'enclos des loutres se trouve un minuscule étang couvert de lentilles d'eau où j'imagine qu'il peut y avoir des grenouilles (je n'en ai personnellement pas vues, mais je ne me suis pas particulièrement penchée sur la question).

La petite mare (agrandir l'image)

Les lentilles d'eau... un peu "soupe au lettres" (agrandir l'image)

Un peu plus loin on peut voir un grand point d'eau où se débattent des canard. Des huttes de castors sont installées sur la rive et j'ai pu voir l'un de ces animaux sortir de l'eau avec des branchages dans les pattes.

Les huttes des castors (agrandir l'image)

Les canards en train de manger un poisson (agrandir l'image)

Le castor essaie d'apporter les brindilles hors de l'enclos, qui est pourtant assez vaste (agrandir l'image)

Un autre enclos situé plus loin sur le parcours contient un porc-épic d'Amérique. Il n'est pas actif la journée (il dort en boule), mais j'ai pu le voir manger vers 17h30 lors de ma seconde visite.

Le porc-épic se relève de temps en temps, mais il dors le reste du temps (agrandir l'image)

De face, en train de manger (agrandir l'image)

La suite du chemin passe dans un souterrain à partir duquel on peut voir sous l'eau de la mare aux castors.

Un castor qui nage, vu depuis dessous

Le souterrain mène à un dernier enclos qui est celui des lynx du canada. Malheureusement pour moi, lesdits lynx n'étaient pas présents durant ce mois (si j'ai bien compris, la femelle venait de donner naissance et les deux individus devaient rester en observation). J'aurais peut-être l'occasion de reprendre des photos d'ici quelque temps.

Comme pour la forêt tropicale, j'effectue un montage des différentes vidéos filmées dans ce biome. Les bruits de fond sont tels qu'entendus sur place.

Une compilation des vidéos de l'érablière des Laurentides (© IS)

• Golfe du Saint-Laurent (sommaire)
  

Après le passage dans l'érablière des Laurentides, nous arrivons dans la partie souterraine du Golfe du Saint-Laurent. Ce biome est en effet composé de deux étapes ; la première offre un aperçu du monde marin à travers de larges vitres donnant sur un immense aquarium (plus de 2.5 millions de litres d'eau de mer).

La salle de transition avant d'entrer dans le biome (agrandir l'image)

Les visiteurs se groupent devant les vitres (agrandir l'image)

La profondeur de champ est vertigineuse (agrandir l'image)

En sortant de cette cavité souterraine, nous débouchons dans une région faisant penser au bord de mer. Les plantes et l'environnement sont typique des écosystèmes aux eaux froides et salées : de nombreuses falaises rocheuses, un végétation moins présente et composée principalement d'herbacées.

Maquette sous verre représentant ce biome (agrandir l'image)

Le paysage faisant face à l'entrée (agrandir l'image)

L'atmosphère est fraiche et vivifiante, des mouettes virevoltent au-dessus des visiteurs en poussant des cris stridents. Quelques mètres plus loin nous atteignons un grand bassin aux eaux peu profondes dans lequel se trouvent une foule d'invertébrés et de poissons propres au littoral rocheux.

Le bassin regroupe de nombreux coquillages, anémones et crustacés (agrandir l'image)

Une animatrice (reconnaissable à son chapeau) donnant des précisions à deux visiteurs (agrandir l'image)

Un loup de l'atlantique aux dents un peu trop acérées... (agrandir l'image)

Un oursin collé contre une vitre (agrandir l'image)

La zone principale est formée d'un grand point d'eau (le même qui est visible par les souterrains) entouré de rochers et falaises. De nombreux canards et mouettes s'activent dans ces récifs.

Le point d'eau surplombé par un faux-ciel pour une sensation de profondeur (agrandir l'image)

Une des falaises (les arbres en arrière plan sont une image) (agrandir l'image)

Une Sterne Pierregarin couchée dans la végétation... (agrandir l'image)

Des Grands Chevaliers debout sur un rocher (agrandir l'image)

Une mouette qui couve (agrandir l'image)

Lors de ma seconde visite, je suis repassée dans ce biome vers 17h45, juste avant la fermeture, et certains oiseaux (des "grands chevaliers") se baladaient alors librement sur le chemin vu qu'il n'y avait plus de visiteurs.

Un Grand Chevalier regardant à travers la vitre (agrandir l'image)

Le même oiseau sur une barrière (agrandir l'image)

En contre-jour (agrandir l'image)

Comme précédemment, j'effectue un montage des différentes vidéos filmées dans ce biome. Les bruits de fond sont tels qu'entendus sur place (pour la partie sous-marine, il s'agit de sons diffusés artificiellement dans la salle).

Une compilation des vidéos du Golfe de Saint-Laurent (© IS)

• Régions subpolaires(sommaire)
  

Le dernier biome comprend en réalité deux régions distinctes : les côtes du labrador (arctique) et les îles subantarctiques. Ici les animaux sont tous maintenus derrière des vitres, un fond sonore artificiel est diffusé en arrière plan pour les visiteurs. Il n'y a pas de chemin, les gens se tiennent dans une seule sale centrale d'où ils peuvent voir tous les animaux. La température n'a malheureusement pas été refroidie dans cette pièce, ce qui limite la sensation d'immersion.

Texte d'accueil (agrandir l'image)

Le couloir reliant l'entrée à la salle centrale (agrandir l'image)

Maquette de ce biome ; l'antarctique est en haut à droite et l'arctique en deux parties à gauche (agrandir l'image)

Du côté arctique, on retrouve les "vrais" pingouins (alcidés) comme les Macareux Moines et les Guillemots Marmette. Il n'y a bien sûr pas de végétation, le décor se compose d'eau, de neige et de versants rocheux. Les oiseaux s'y regroupent et nagent activement dans le courant crée artificiellement dans l'eau.

Vue générale d'une des étendues rocheuses (agrandir l'image)

Macareux Moine les ailes déployées (agrandir l'image)

Gros plan sur la tête d'un Macareux (agrandir l'image)

Un Guillemot sur des rochers (agrandir l'image)

De la verdure et des poissons sont disposés dans des bacs pour alimenter les pingouins.

Macareux dans un bac d'herbe (agrandir l'image)

Des poissons sont laissés à disposition des oiseaux (agrandir l'image)

Depuis la pièce centrale, il est possible de contempler les animaux à travers les vitres lorsqu'ils plongent sous l'eau.

Un petit pingouin qui s'approche des mains de deux enfants (agrandir l'image)

Dans la partie antarctique, on retrouve différentes espèces de manchots et de gorfous.

Un magnifique manchot papou (agrandir l'image)

Un manchot qui se prépare à plonger dans l'eau (agrandir l'image)

J'effectue un dernier montage des différentes vidéos filmées dans ce biome. Les bruits de fond sont artificiels mais tels qu'entendus sur place.

Une compilation des vidéos des régions subpolaires (© IS)

• Autres expositions et boutiques (sommaire)
  

Mis à part les 4 régions à visiter, le Biodôme propose également un certain nombre d'expositions permanentes ou temporaires. Parmi celles-ci, je mentionnerai l'Affaire Fossile : une salle de découverte où des objets et explications sont entreposés, ainsi que Naturalia : une seconde salle où les enfants peuvent apprendre de manière interactive les principes fondamentaux du vivant.

La salle aux fossiles, avec un squelette de béluga vieux de 10'700 ans en premier plan (agrandir l'image)

Une exposition de nids de différents oiseaux (agrandir l'image)

L'entrée de Naturalia (agrandir l'image)

Au fil du cheminement, on rencontre également de nombreux animateurs et des ateliers sur des sujets didactiques et ludiques. Un petit film commenté en direct est présenté pour sensibiliser les visiteurs aux aspects biologiques et écologiques de la biodiversité.

Affiche de la présentation sur la biodiversité (agrandir l'image)

Une grande salle d'exposition accueil au centre du Biodôme certaines oeuvres en relation avec la nature, lors de ma visite il s'agissait de "Trombe", un jeu de miroir en rapport avec l'eau.

Un groupe de visiteur, les pieds dans l'eau (agrandir l'image)

Les pas font vibrer le liquide et modifie le reflet des objets suspendus au plafond (agrandir l'image)

A la sortie du parcours on retrouve évidement une boutique de cadeaux bien fournie pour les visiteurs souhaitant acheter un souvenir de leurs passage au Biodôme.

La boutique à souvenirs (agrandir l'image)